Signature du pacte pour le logiciel libre

Denis Broliquier, candidat #PositivonsLyon à la Mairie de Lyon et Eric Lafond (notre candidat pour la métropole de Lyon) ont signé le pacte pour le logiciel libre de l’April. Régis Favier (LyonEst / Métropole) et l’ensemble de nos têtes de listes les rejoignent sur cet engagement.

L’association April a pour objectifs de :

  • Promouvoir le logiciel libre auprès du grand public, des professionnels, des associations et des pouvoirs publics ;
  • Sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux des standards ouverts et de l’interopérabilité ;
  • Obtenir des décisions politiques, juridiques et réglementaires favorables au développement du logiciel libre et aux communs informationnels ;
  • Défendre les droits des utilisateurs et des auteurs de logiciels libres;
  • Favoriser le partage du savoir et des connaissances.

Consulter le pacte pour le logiciel libre.

Il est important que nos élu.e.s et futurs élu.e.s soient informé.e.s et s’engagent pour que les logiciels libres et l’opensource soit un choix par défaut (ce qui n’est pas contraire au code des marchés publics) pour les écoles, les collèges et l’ensemble des services !

Retrouvez la liste des signataires sur le site Candidats.fr.

Moins de déplacements, plus de mobilité, et une réduction de moitié de la pollution

Greenpeace, comme plusieurs médias, a « oublié » de nous interroger sur nos propositions en matière de mobilité. Nous leur avons donc renvoyé une synthèse, occasion d’un article complet que vous trouverez ci-dessous :

Notre approche consiste à donner des alternatives à la voiture, sur l’ensemble du territoire, pour tous, et ne pas opposer ceux qui viennent tous les jours travailler dans la Métropole, à ceux qui habitent ici.

Dès lors, nous voulons décentraliser la Métropole, fournir des outils pour réduire les déplacements, déployer une nouvelle génération de transports en commun, et intégrer l’entrée du fret par des modes alternatifs sur le territoire : voilà en quoi consistera notre politique de mobilité et de transport sur le territoire.

 

Moins de déplacements, plus de mobilité

Afin de convaincre les utilisateurs des 330 000 véhicules qui entrent tous les jours sur le territoire de la Métropole de se déplacer différemment, nous créerons une cinquantaine de lieux pour stocker les voitures (parc-relais de taille significative), travailler à distance (tiers lieux ou co-working) et donc se déplacer moins, tout en restant mobile. Des lieux que certains articles de presse ont déjà nommé des « hubs mobilité-travail ».

La Métropole prend en charge la création de ces parc-relais qui ne peut incomber aux communes. Elle utilise quand c’est possible les espaces environnants les gares existantes (ex. la gare de Rillieux-Sathonay) ou des lieux nouveaux, pertinents au regard des flux de circulation actuels.

Elle crée les tiers-lieux ou sites de co-working au même endroit. Au regard des activités essentiellement tertiaires du centre de la Métropole, il n’est pas nécessaire que tous ceux qui viennent travailler ici le fassent en même temps. Avec ces tiers-lieux, nous donnons la possibilité de développer significativement le télé-travail en créant des espaces adaptés à celui-ci. Afin de montrer l’exemple, la Métropole, la Ville de Lyon, et tous les employeurs dépendants directement des deux institutions, mettront en place une politique incitative en ce sens.

Dans un rayon de 2 km autour de ces « hub mobilité-travail », nous aménageons les voies de circulation pour permettre aux habitants qui sont dans ce périmètre de les rejoindre avec des modes doux. Pistes cyclables et voies piétonnes sécurisées, trajets de bus adaptés, etc.

Nous développons une nouvelle génération de transports en commun pour connecter ces « hubs mobilité-travail ». Ainsi, nous investirons pour créer 3 lignes d’Aérotram (transport par câble comme à Toulouse), dont vous trouverez en pj les parcours.  Si nous reprenons l’exemple de la gare de Rillieux-Sathonay, elle sera le départ d’une ligne F desservant Cuire (le métro C) par la voie verte, le quartier de l’Industrie, la Grande gare de Vaise (métro D), la Duchère et Ecully. Autant de territoires non connectés entre eux, impossibles de lier aujourd’hui autrement qu’en voiture.

Avec l’Aérotram, nous créons en 4 ans de nouvelles mobilités, permettant de transporter 4 à 5000 personnes par heure et par sens, pour en coût de 20 millions d’€ du km environ (10 fois moins que le métro).

A l’identique, nous utiliserons la Saône comme support de navettes fluviales pour permettre aux échanges entre le val de Saône, le bas des Mont d’Or et le centre de la Métropole de se faire sans voiture. Une flotte de navettes, intégrée au réseau TCL, au départ d’embarcadères qui seront aussi des « hub travail-mobilité ».

Lorsque nous n’apportons pas de solution de transport de commun nouvelle, nous optimisons les lignes existantes en augmentant les fréquences, notamment sur l’Est de la Métropole avec les lignes de tramway T3 ou l’intégration de la ligne Rhônexpress au réseau TCL. A ce propos, nous considérons la concession Rhônexpress comme illégale et nous irons chercher la résiliation devant le tribunal administratif. Après avoir payé 100% de l’infrastructure, il n’est pas acceptable de débourser plusieurs dizaines de millions d’€ pour rompre un tel contrat. Ensuite, la ligne pourra être mieux utilisée pour améliorer la mobilité sur l’Est du territoire et desservir convenablement l’aéroport.

Ces lieux constitueront tous de nouvelles centralités dans la Métropole où des services complémentaires s’installeront, attirés par la présence de ceux qui viendront y garer leur voiture et travailler à distance. En s’installant autour de gares existantes, nous nous donnerons aussi un levier dans les discussions avec la Région et la SNCF pour intensifier les lignes de TER, améliorer le réseau Tram-Train, voire faire émerger un « RER à la Lyonnaise » avec 4 lignes fortes.

Ligne A : de Villefranche ou Tarare/L’Arbresle à Givors/Saint-Étienne ou Vienne 

Ligne B : de Lozanne, Saint-Bel ou Brignais à Bourgoin

Ligne C : de Givors à Ambérieu-en-Bugey

Ligne D : de Bourg-en-Bresse à Lyon

Les « hub mobilité-travail » seront tous équipés avec des solutions individuelles de déplacements : vélo électriques en partage, véhicules en partage, électriques ou non, station de co-voiturage.

 

Afin de faciliter le quotidien des personnes qui utiliseront ces solutions, l’ensemble des outils de mobilité sera utilisable avec une seule carte. Non seulement la relation TER-TCL, mais aussi l’ensemble des moyens disponibles sur le territoire (vélo’v, citiz, bluely, etc.). La Métropole est au coeur de tous ces dispositifs, elle peut donc en coordonner l’utilisation.

Nous portons enfin un projet alternatif au projet « Part-Dieu » visant à régler le NFL (Noeud ferrovoviaire lyonnais), en ayant une approche s’appuyant sur 3 gares : Rillieux-Sathonay, Part-Dieu et Jean Macé-Perrache. Les gares au nord et au sud de la Métropole accueilleront l’essentiel du trafic TER, et la gare de la Part-Dieu sera dédié au TGV. Une navette ferroviaire régulière reliera les 3 gares entre elle. Cette solution est la plus sobre en investissement public, est réalisable en un mandat et contribuera à déconcentrer la Métropole en allégeant le quartier de la Part-Dieu. Elle permettra de réduire la congestion et les retards et annulations réguliers de train, autant de réalités n’incitant pas à utiliser ce mode de déplacement.

 

Améliorer l’usage des transports en commun

Nous disposons ici d’un réseau de qualité qui nécessite pourtant d’être optimisé.

Outre l’intensification des fréquences sur certaines lignes de bus et de tramway, nous pouvons considérablement améliorer son fonctionnement :

– en installant 4 rames de métro sur le ligne D, là où il n’y en a que 2 aujourd’hui alors que les stations sont construites pour 4.

– en instaurant la gratuité pour les enfants (jusqu’à leur entrée au Collège), car il est plus onéreux aujourd’hui pour une famille de prendre les transports en commun que d’utiliser la voiture. Avec cette gratuité intelligente, nous incitons à l’utilisation des transports en commun.

– en développant sur les secteurs les moins denses – haut du 5e, du 9e, Ecully, par ex – un transport à la demande avec une flotte de triporteurs électriques. Nous emmènerons ainsi les personnes vers des points desservis en transport en commun. Nous nous inspirons ici de ce que Chambéry a initié et développé en son centre ville.

– métro progressivement étendu en rythme 24h/24.

– extension de la ligne T6 jusqu’au campus de la Doua.

L’ensemble de nos propositions s’inscrit dans une sobriété budgétaire. Nous estimons à 2 Milliards d’€ l’investissement nécessaire pour réaliser ces nombreuses améliorations, soit 2 fois ce que le Sytral a investi pendant le dernier mandat. Nous avons cette capacité financière sans augmenter les impôts, et sans augmenter le prix du ticket pendant le mandat.

 

Développer l’usage du vélo

Faire entrer Lyon dans les 10 villes de France ayant le meilleur rapport kilomètres de pistes cyclables/population est notre objectif sur ce mandat.

Les déplacements en vélo sont freinés aujourd’hui par un manque de sécurisation. Les responsables locaux ont souvent confondus voies et pistes, considérant qu’en peignant des vélo sur le bitume, cela constituait une réponse suffisante. La démocratisation de l’usage du vélo suppose une sécurisation des parcours pour assurer un cohabitation intelligente avec les autres modes de déplacement. Symboliquement, pour que le personnel politique soit en phase avec ces objectifs, les élus se verront doter d’un vélo électrique de fonction pour leur déplacement au coeur de la Métropole.

Davantage que des primes à l’achat de vélo, où l’expérience nous enseigne que ce sont rarement les plus modestes qui en bénéficient, nous privilégions le développement de vélos en partage, sur l’ensemble du territoire. Nous renforcerons l’apprentissage du vélo à l’Ecole et au Collège, et soutiendrons le développement des « véli-bus » (à l’instar des pédibus) pour permettre aux enfants et aux collégiens de se rendre à l’école en groupe sur des parcours protégés et accompagnés. Les écoles et les Collèges seront naturellement équipés de parc à vélo et autres modes doux.

Les bus seront également équipés de systèmes d’accroche vélo à l’arrière, ainsi que cela se pratique dans d’autres villes dans le monde  (au Quebec notamment) pour faciliter un usage multimodal intégré.

Outre les aménagements évoqués précédemment autour des « hub mobilité-travail », et la politique de sécurisation des axes de circulation avec des pistes cyclables sur l’ensemble du territoire (ainsi de la relation entre Bron et la Part-Dieu par exemple), il sera nécessaire de reconquérir de l’espace au sol. Notre choix de développer le transport par voies aériennes y contribuera. Le développement de parkings dédiés aux riverains en centre-ville aussi. Utile à la marche, cet objectif de reconquête servira bien sûr à développer la pratique du vélo.

Notre ambitions en la matière est particulièrement éclairée par notre projet « Métamorphose » sur Perrache visant à transformer complètement l’axe nord-sud. Pour le détail complet du projet, nous vous invitons à consulter sa présentation en ligne ici.

Ce projet permettra de libérer les quais du Rhône, et de réaliser la première autoroute cyclable de France entre Pierre-Bénite et Tassin. En effet, en sortant la circulation automobile (fortement réduite grâce à notre stratégie mobilité développée précédemment, mais demeurant forte) de cet axe, nous pouvons aménager un axe totalement sécurisé et dédié au vélo qui remontera du sud de la Métropole (circonscription Lônes et Coteaux) vers le nord. Grâce à un tunnel mode doux sous Fourvière, cet axe rejoindra Tassin ou Gorges de Loup. Il permettra également de terminer la Via Rhôna et d’assurer le lien avec le campus de la Doua par les berges du Rhône, et l’ensemble des grands parcs du centre de la Métropole.

Le projet « Métamorphose » coûtera entre 700 et 900 millions d’€, soit l’équivalent d’une année d’investissement de la Métropole. Il est donc aisé à financer au regard des améliorations considérables qu’il apportera pour le territoire.

En complément de ces moyens incitatifs et protecteurs, la vidéo-surveillance installée sur les communes de la Métropole sera réorientée (ce que nous proposerons aux Maires) vers la verbalisation des comportements inciviques sur la route afin de consolider le partage de celle-ci.

 

Changer le rapport à la voiture

L’usage de la voiture demeurera important dans la prochaine décennie, il est illusoire de penser que nous la ferons disparaître en un claquement de doigts. En revanche, nous pouvons encourager son évolution vers un usage optimisé/partagé, réduit, et en circonscrivant au mieux ses nuisances.

Nous développerons sur le territoire le co-voiturage, non seulement en créant de nombreuses stations dédiées, mais aussi en permettant et coordonnant l’émergence d’applications numériques pour le sécuriser et le rendre simple sur des circuits intra-urbain domicile-travail ou travail-travail.

A l’identique, il est de la responsabilité de la Métropole de développer le réseau des voitures en partage, notamment celles qui seront non-thermiques, ainsi que d’encourager les voitures électriques, hydrogène ou d’autres types de propulsion non-carbonée qui arriveront demain. A ce titre, il est temps que la Métropole investisse dans un réseau dense de bornes de recharge électrique sur le territoire, associé au développement de la production locale.

En centre-ville, l’enjeu est également de gagner de la place au sol, d’où notre propositions de parking résidents pour permettre à chacun de stocker sa voiture hors de la voirie.

 

Intégrer le fret dans la stratégie de mobilité et de réduction des émissions carbones

Bien qu’il ne soit jamais évoqué dans les programmes électoraux, le sujet de l’entrée des marchandises en ville fait partie intégrante de notre approche.

Le déclassement de l’autoroute A6/A7 en boulevard urbain devrait d’ores et déjà permettre d’interdire le fret en transit. Ce n’est pas le cas, et c’est que nous ferons.

Le commerce de proximité que nous souhaitons voir perdurer et se développer nécessite d’organiser l’entrée des marchandises en ville autrement qu’avec des camions à motorisation thermique comme c’est le cas aujourd’hui. De nombreux professionnels du transport sont prêts à utiliser d’autres types de véhicule, faut-il encore que l’acteur public accompagne cette évolution. Deux démarches peuvent être entreprises et nous les  expérimenterons :

– une utilisation des transports en commun de nuit, tramway et métro pour acheminer les marchandises en ville.

– une réglementation incitant à l’utilisation de véhicules moins à non polluants pour l’entrée de ces marchandises.

Dans cet esprit, nous nous attacherons également à proposer aux entreprises artisanales pour qui l’utilisation de la voiture/camionnette est essentielle des solutions pour faciliter leur mobilité sur le territoire. Il est devenu de plus en plus difficile pour les habitants de faire appel à ces services, essentiels à la qualité de vie quotidienne. Nous expérimenterons diverses approches, comme des locaux de stockage mutualisés pour réduire les déplacements, le prêt de vélo-cargo électriques en centre-ville, etc.

Nous avons pour objectif, avec cet ensemble de mesures, d’améliorer en profondeur la mobilité sur l’ensemble du territoire et de réduire les déplacements. Concernant les véhicules thermiques, notre objectif est de réduire de 50% leur utilisation au cours du prochain mandat.

Nous nous tenons à votre disposition pour de plus amples précisions.

 

  • Sortie des véhicules polluants :
    • Programmation de la sortie du diesel d’ici la fin du prochain mandat au plus tard, puis de l’essence de toute la métropole avant 2030 (possibilité via la ZFE) ;
    • Extension des restrictions aux véhicules particuliers.
  • Réduction de la place de la voiture :
    • Abandon des projets routiers et autoroutiers et notamment du tronçon périphérique « anneau des sciences » (note : retrouvez l’analyse d’Alternatiba sur ce projet climaticide et extrêmement cher, qui grévera les finances de la métropole sans optimiser le quotidien des Lyonnais·es, imposant de plus un tarif payant pour sa traversée et une destruction de vastes espaces naturels) ;
    • Généralisation de la limitation à 30 km/heure dans la métropole ;
    • Extension des zones piétonnes.
  • Mise en place d’aides pour accompagner les personnes fragiles :
    • Accompagnement à développer les alternatives à la voiture thermique : aides à l’achat de vélos ; aide à l’achat de véhicules électriques ; développement de l’autopartage…
  • Dynamique du vélo (analyse menée en partenariat avec la Ville à Vélo) :
    • Vision du vélo à 2026 ;
    • Création de passerelles vélo ;
    • Lutte contre le stationnement des voitures sur les pistes cyclables ;
    • Création de stationnements vélos ;
    • Prime à l’achat
    • Vélov / MyVélov
    • Autres points notables : ateliers vélos, livraisons, éducation…
  • Dynamique des transports en commun :
    • Augmentation du Budget alloué au SYTRAL ;
    • Développement du réseau, dont prise en compte de l’urgence climatique pour le développement ;
    • Mise en place de tarifs solidaires.
  • Mobilité et santé des enfants :
    • Création de voies piétonnes ou zones à circulation apaisée près des écoles ; aménagement des voies de circulation ;
    • Dispositifs pour faciliter les modes doux : parkings à vélos devant les écoles, pédibus ; éducation au vélo.

Nous avons attribué une note de 0 à 4 pour chaque critère :

  • 0 : Aucune mesure satisfaisante
  • 1 : Programme trop peu ambitieux
  • 2 : Quelques mesures intéressantes mais pas assez nombreuses, ambitieuses, précises
  • 3 : Programme ambitieux mais avec quelques points à améliorer ou à préciser
  • 4 : Programme ambitieux

 

Le coronavirus, révélateur du télétravail pour la Métropole de Lyon ?

Pour éviter à leurs salariés de propager le virus ou d’être contaminés, les entreprises peuvent ponctuellement imposer le télétravail comme le permet l’article Article L1222-11 du code du travail en cas d’épidémie. C’est ce qui est massivement pratiqué en Chine depuis plusieurs semaines et c’est ce qui va probablement se mettre en place dans la métropole de Lyon dans les semaines qui viennent.

Si le télétravail peut apparaître comme un antidote de circonstance aux conséquences économiques du coronavirus, il constitue aussi un véritable levier pour réduire les très nombreux effets négatifs des centaines de milliers de déplacements domicile-travail que connaît la métropole lyonnaise chaque jour :

  • 142 heures de bouchons par an, soit plus de 3 semaines de journées travaillées perdues (1) ;
  • un dépassement systématique et persistant de la pollution de l’air au dioxyde d’azote depuis 10 ans (la Métropole de Lyon a été condamné récemment par la Cour de justice de l’Union Européenne) (2) ;
  • une accidentologie accrue (50% des accidents du travail mortels sont dus aux accidents de la route). (3)

S’organiser pour travailler à distance permettrait de répondre efficacement aux différentes épidémies de grippe, mais aussi aux épisodes de circulation alternée, aux grèves, aux intempéries et aux travaux, qui, de façon cumulée, constituent un nombre de jours importants où la circulation automobile est problématique.

100%Citoyens veut démocratiser les nouvelles formes de travail (télétravail, coworking) à travers plusieurs actions phares :

  • doter la métropole de 50 hubs de travail à distance, aux portes de la métropole,
  • permettre à une partie importante de ses agents de pratiquer le télétravail à domicile et dans des tiers-lieux,
  • lancer un vaste défi métropolitain sur le télétravail pour sensibiliser les employeurs publics et privés à pratiquer le télétravail ;
  • inciter les employeurs à pratiquer le télétravail (crédits carbone, certificats d’économie d’énergie, réduction de la taxe transport, etc.).

Très efficace en cas de crise, le télétravail l’est aussi en temps normal. C’est un levier de performance économique et environnementale pour les entreprises et les collectivités publiques.

Contact Jean Pouly : rédacteur de la note / 06.34.18.09.16
contact presse : 06.35.15.03.19
contact@100pour100citoyens.fr

 

Retrouvez nos propositions sur notre chaîne Youtube
Téléchargez le communiqué de presse.

(1) https://www.leprogres.fr/rhone/2020/01/29/les-lyonnais-ont-perdu-142-heures-dans-les-bouchons-en-20192

(2) https://www.lyoncapitale.fr/actualite/pollution-de-l-air-a-lyon-et-11-villes-la-france-condamnee/?fbclid=IwAR3lmESVddOcx5cZRWBDQROHSFI-JD0rbk8HhHHTLyNJzz-LTJUnPOUpRCw3

(3) https://www.ameli.fr/entreprise/sante-travail/risques/risque-routier/risque-routier

 

 

 

Projet Métamorphose pour faire tomber le mur de verdun

Le mardi 25 février 2010, Denis Broliquier et Eric Lafond ont présenté le projet Métamorphose.

Perrache, sans mur de Verdun, pour une dynamique positive d’un projet pensé pour la ville et ses habitants !

 

Dans le respect de l’histoire et de l’identité des lieux ce projet est solidement implanté entre nature et culture.

C’est un quartier retrouvé, une ville qui change d’image, une respiration, une double perspective Rhône-­Saône, la place Carnot agrandie de 11 000 m2 et une reconquête des berges du Rhône en rive droite .

Multi-­‐modalité : toutes les fonctions actuelles sont conservées, améliorées, enrichies. Train, tram, métro, bus, cars et aérotram.

Un tunnel « mode doux » et transports en commun sous Fourvière permettra une liaison Perrache / Gorge de Loup.

La voie souterraine routière permet de libérer totalement la rive droite du Rhône du trafic et de la densité autoroutière et de recycler les pollutions.

Avec une sortie en rive gauche c’est une jonction au périphérique à Saint-­‐Fons puis la connexion à l’A450 dans un secteur qui n’est pas un centre urbain.

Un parc urbain sur 6 kilomètres de long, en rive droite du Rhône reliera les nouveaux parcs créés à ceux existants

Notre projet est une forme élégante et pertinente de « bouclage du périphérique », sans l’Anneau des Sciences.
Il n’y aura pas d’échangeurs en zones nature ou proches de secteurs sensibles.

C’est moins de pollution de l’air, des espaces verts en pleine terre et des jardins partagés. Les constructions en îlots jardins seront le gage d’une qualité de vie sur la durée.

Un budget qui reste modeste au regard des améliorations apportées. Un projet basé sur la transparence et l’implication citoyenne.

Si vous souhaitez recevoir le projet complet (enfin télécharger ou le consulter en ligne) merci de bien vouloir nous laisser vos coordonnées en utilisant ce formulaire.
Merci

Alliance avec Positivons Lyon pour nos communes notre ville et notre métropole

Lyon, le 7 février 2020.

« Dans un contexte de division des forces politiques locales, les gens de bonne volonté se rassemblent autour d’un projet. Nous pouvons le faire justement parce que nous avons un projet. Cette volonté de porter des réponses politiques différentes à initier chacune de nos démarches. Elle nous conduit naturellement à regrouper nos énergies aujourd’hui pour porter plus fortement ce projet

A Lyon et dans la Métropole, nous pouvons et nous devons faire mieux. Après 3 mandats consacrés au rayonnement international de notre territoire, il est temps de consacrer autant d’énergie à la qualité de service proposé aux habitants, à leur qualité de vie quotidienne. Nous pouvons le faire avec de l’imagination et une nouvelle génération d’hommes et femmes qui se rappelleront qu’être élu, c’est d’abord être un représentant. Plus important encore, nous devons le faire. Nous avons en effet ici les moyens de trouver des solutions à des difficultés face auxquels d’autres territoires, et même l’État sont démunis aujourd’hui.

C’est pourquoi, notre projet s’appuie sur des approches nouvelles, des propositions concrètes, et des outils que nous proposons à nos concitoyens pour faciliter le quotidien et être à la hauteur des enjeux de notre époque : l’éducation, la préservation de l’environnement et l’emploi.

Denis Broliquier mènera nos équipes pour la Ville de Lyon,
je les représenterai pour la Métropole.

Eric Lafond

Rencontre avec LyonMag.

Interview avec Alexis André, rédacteur de LyonMag, sur nos projets, thématiques et ambitions concernant les élections municipales et métropolitaines du 15 et 22 mars 2020.